Le cycle de la vie et de la mort. Je meurs et j’ai donné la vie, labyrinthe sans issue, propos obstiné que quelque chose survive à l’oubli.

Je porte la vie dans un glorieux éclat. Ne vous prenez pas pour Dieu, car vous connaissez mon destin. L’avenir m’appartient.

Je vais m’étirer vers la lumière, enivrée de vivre, dans la claire lumière du matin gris.
